Cette section a pour but de supporter l'atelier assuré par Daniel Pascot, mais aussi de vous permettre d'explorer, apprécier et utiliser Digikam.
Elle a été réalisée au fur et à mesure d'une nouvelle utilisation du logiciel qui s'est révélé raisonnablement stable (quelques arrêts mais aucune perte).
Digikam est un logiciel complet pour la gestion des photos. Il fait partie de la suite KDE et est distribué sous licence GPL version 2 (https://fr.wikipedia.org/wiki/Licence_publique_générale_GNU), il est disponible sur toutes les plates formes, c'est-à dire les différentes distributions Linux mais aussi Mac OSX et Windows.
Digikam donne accès à de nombreuses fonctionnalités de gestion des photos ainsi que d'édition, soit via sa propre bibliothèque, soit les plugins Kipi ou la plupart des logiciels d'édition de photo comme the Gimp, darktable, rawtherapy, rawstudio…
<font inherit/inherit;;#0000FF;;inherit>On peut considérer digikam comme une plateforme assurant correctement toutes les fonctions du flux de traitement des images et donnant accès à tous les logiciels libres complémentaires pour des fonctions plus avancées. Un amateur éclairé ne trouvera pas d'autre avantage avec les logiciels privateurs que leur popularité et les habitudes qu'il a acquises.</font>
<font inherit/inherit;;#0000FF;;inherit> La retouche n'est pas son point fort, pour ça il vaut mieux sauter dans The Gimp accessible aussi facilement que la fonction d'édition incorporée. Il faut voir Gimp comme un complément à Digikam et non l'inverse. </font>
Il existe une version à l'interface plus classique donnant accès aux mêmes outils : showfoto dont la première version de Gilles Caulier (encore coordinateur, développeur et encadrant du projet Digikam), qui a donné naissance à Digikam, remonte aux premières versions de KDE il y a plus de 10 ans (le splash screen a évolué depuis !)
Le site officiel (en anglais) :https://www.digikam.org/
Présentation rapide sur le site KDE https://userbase.kde.org/Digikam/fr#G.C3.A9rer_vos_photos :
Extrait d'un cours d'introduction à l'informatique qui prenait les photos comme exemple pour traiter des notins de fichier et d'interopérabilité ainsi que de flux de traitement et de choix de logiciel
Un préalable nécessaire pour une qualité acceptable : deux étapes le calibrage et la caractérisation
Il est disponible dans la Logithèque Mint ou Ubuntu ou pour toute distribution dérivée de ubuntu, dans une version souvent assez ancienne.
sudo apt-get install digikam
La version disponible était la 3.5, j'ai donc installé la plus récente, mais cela pose des problèmes de dépendance car elle utilise des bibliothèques plus récentes et implique une version récente de KDE, heureusement il y a une solution
La version présentée ici est la version 4.14.0 localisés en français mise à jour le 7 mars 2016 sur ma version Linux-Mint 17 installée en en français qui est une version LTS (jusqu'en avril 2019) basée sur Ubuntu trusty (14.04 LTS), mise à jour avant l'installation. J'ai suivi la procédure de la doc ubuntu (https://doc.ubuntu-fr.org/digikam).
Détail de l'installation (valable pour toute distribution basée sur Ubuntu trusty)
Un auteur pour linux et par ailleurs photographe membre de la communauté Digikam a produit un livre (en anglais) libre et intéressant : Digikam receipe . On le trouve ici http://scribblesandsnaps.com/ ou encore depuis le site de digikam https://www.digikam.org/node/543 il le vend une dizaine de US$ mais on peut le redistribuer gratuitement (This work is licensed under the Creative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike 4.0 International license.)
Il y a 2 grandes étapes : le développement et la retouche, même en numérique c'es deux étapes existent, surtout si l'on utilise des fichiers raw, dans ce cas c'est obligatoire. Ces 2 étapes peuvent s'enchaîner dans le même logiciel. Elles sont très bien identifiées et illustrées ici :http://www.olivier-chauvignat-workshops.com/tutoriels/difference-entre-developpement-et-retouche
Le développement consiste en :
En Argentique :
En Numérique :
Et la retouche :
En Argentique :
En Numérique :
Ainsi toute photo numérique est développée, soit automatiquement si on se contente du jpg de l'appareil, soit explicitement depuis un fichier raw ou en complétant le développement d'un jpg.
<font inherit/inherit;;#0000FF;;inherit> Digikam intervient principalement dans la phase de développement qui est la plus critique dans le résultat flux de traitement </font>
<font inherit/inherit;;#0000FF;;inherit> Chacune de ces étapes peut être réalisée dans digikam ou dans un des plugins ou des logiciels accessibles directement : leur résultat sera directement stocké dans le système de fichier et donc automatiquement synchronisé dans digikam. En ce sens depuis digikam, on a accès à tous les logiciels libres de photo de notre distribution ou instalables sur elle. En particulier le développement Raw peut être fait par les meilleurs logiciels libres </font>
Outre les nombreux plugins installés avec kippi, o accède aux autres logiciels installés pour le traitement des fichiers raw par les menus ou un simple clic droit sur une vignette
Remarque : Bibble5 n'est pas libre (et d'ailleurs existe maintenant sous un autre nom Aftershot car vendu -un des risques des logiciels privateurs-), et bien sûr on peut en ajouter d'autres
Même chose (avec les mêmes logiciels possibles) pour les jpg ou png
La base de données ne contient pas les photos, mais ce qu'il faut pour les gérer. Les photos restent dans des dossiers normaux accessibles par Digikam mais aussi par le gestionnaire de fichiers. Digikam appelle ces dossiers collection et album.
Cette utilisation du système de gestion de fichier est très pratique : vous voyez naturellement vos collections et albums comme des dossiers organisés hiérarchiquement, mais digikam offre par dessus une gestion plus sophistiquée. La base do données des collections et albums est automatiquement mise à jour au moment de l'ouverture de digikam.
As digiKam uses your folders on your hard disk directly, other applications like file managers can remove any albums outside a digiKam session. In this case digiKam will tell you at the next session if all albums that have been removed from the digiKam photographs root path shall be deleted from albums database. If you want to move folders around and do not want to do that in digiKam, we suggest you do that while digiKam is running, so the database will be kept in sync and you do not lose any metadata. (aide)
Ainsi vous voyez toutes vos photos (celles qui sont connues dans la base de données), vous pouvez les consulter (métadonnées, ...) et voir les vignettes (fhumbnail) mais vous ne pouvez manipuler que celles qui sont actuellement montées
Accessibles via un toolbar (et aussi des raccourcis clavier), hautement configurable (comme presque tout dans le logiciel)
<font inherit/inherit;;#FF0000;;inherit>Demo du mode vignette : les 3 grandes zones de travail :navigation, travail, catalogage</font>
<font inherit/inherit;;#FF0000;;inherit>Demo de la table lumineuse</font>
<font inherit/inherit;;#FF0000;;inherit>Exploration des menus</font>
Tou d'abord se rappeler que le jpeg est une transformation faite par l'appareil avec les algorithmes du constructeur à partir du raw du capteur (les scènes sont du paramétrage de l'algorithme)
Pourquoi utiliser les formats RAW ?
Quelques liens utiles
Il est fortement conseillé de conserver les originaux : ne jamais les modifier principe de la modification non destructive.
Il est conseillé d'utiliser un logiciel d'archivage pour tout ce que l'on ne veut pas perdre, ce qui ne pose pas de problème puisque tout est connu (même la BD) par le gestionnaire de fichiers.
Vu dans digikam receipe
Pas encore essayé
C'est ici :https://userbase.kde.org/Digikam/Check_Database
La mienne est bonne même après de multiples arrêts dus à mes nombreux essais sur les catégories et albums (j'ai manipulé des milliers photos et lancé des opérations sur la bd -empreintes et doublons. recherche d'étiquettes …- qui on duré des heures).